Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

 

 Intouchable

Aller en bas 
AuteurMessage
Martin

Martin


Messages : 2030
Date d'inscription : 26/11/2011
Age : 29
Localisation : LYON 69

Intouchable Empty
MessageSujet: Intouchable   Intouchable EmptyVen 16 Déc - 16:51

Résumé détaillé
Citation :

L’histoire commence par un slalom. Driss au volant conduit le coupé sport de Philippe à toute vitesse en slalomant parmi les voitures. Ils sont bientôt poursuivis par la police. « 100 euros que je les mets dans le vent » parie Driss à son ami tétraplégique. Pourtant ils sont rattrapés. Philippe simule un malaise pour justifier les 180km/h. Les policiers s’en laissent imposer. Driss en profite pour tutoyer les policiers « il est dead, il clamse ». Ceux-ci affolés finissent par les escorter à l’hôpital. Les deux hommes jubilent. À peine ont-ils tourné le dos, les deux comparses triomphent de les avoir si bien bernés et reprennent leur route « Maintenant, tu me laisses faire » dit Driss.

C’est l’occasion d’un retour en arrière. Les deux hommes se rencontrent : Philippe fait passer un entretien d’embauche pour recruter un auxiliaire de vie. Les candidats médiocres défilent au physique sans beauté, tous plus hésitants et maladroits les uns que les autres. Finalement, Driss en a assez d’attendre et force son passage. Il veut juste un tampon sur ses papiers d’Assedic. Il est beau, il est grand, baraqué, puissant dans son physique, dominateur dans son élocution. « Sa motivation ? » répond-il à son futur patron, c’est la secrétaire elle-même. Tout en lui respire le mâle sûr de son charme, débrouillard et qui sait se faire respecter. Il est invité à revenir le lendemain.

De retour dans sa banlieue, il évolue au milieu d’un appartement surpeuplé d’enfants. Il prend un bain. Une fillette le gêne et il est obligé de se lever de la baignoire pour la pousser dehors. Mais sa mère arrive. Elle est excédée, cela fait six mois qu’il n’a pas donné signe de vie et le revoilà. Et bien c’est terminé, elle ne veut plus de lui sous son toit. Le lendemain chez Philippe, son travail lui est montré. Il prend conscience de la tétraplégie de Philippe que des praticiens se relient à masser sous ses yeux. Il se présente à ses nouveaux appartements, extrêmement bien meublés. La baignoire fait un contraste saisissant avec celle de son ancien HLM. Il ne perd pas de temps pour inviter Magalie, la secrétaire, à l’y rejoindre. Elle le laisse se dévêtir comme pour répondre à son invitation. Mais voilà qu’elle se défile, le laissant sur sa faim. Une scène montre Driss en train d'enfiler les bas de contention à son malheureux employeur. Cela lui est déjà pénible, car enfiler des bas à un mec, ce n’est pas dans ses habitudes, mais mettre des gants pour l’aider à faire ses besoins le rebute carrément. Il s’en plaint à Yvonne, tout en se vantant de son succès apparent auprès de la secrétaire. Quoiqu’il en soit, c’est bientôt le moment de sortir en voiture. Pas question d’embarquer Philippe dans son véhicule spécialement aménagé. Il le porte dans sa voiture de sport. La porte cochère s’ouvre pour les laisser passer. Le passage est bloqué par un voisin qui stationne là tous les jours, se plaint Philippe. Fidèle à son tempérament de caïd, Driss ouvre sa porte, et agrippant le gêneur par le col, lui vocifère de dégager d’un ton menaçant qui fait la joie de Philippe resté dans la voiture. Les deux hommes se rendent dans une galerie d’art. Philippe admire une peinture qui ne semble qu’un jet de sang aux yeux de son compagnon. Il pourrait faire pareil et même ajouter du bleu, se vante-t-il. Mais sa surprise culmine quand l’hôtesse annonce le prix de l’œuvre qui monte à 41 500 euros.

Plus tard, dans un bar, Philippe dialogue avec un parent. Celui-ci lui le met en garde sur les antécédents judiciaires de son employé. D'ailleurs il a déjà fait six mois de prison. Il l’invite à faire attention aux gens comme lui car ils sont sans pitié. Mais justement, dit Philippe, il ne veut d’aucune pitié. D’ailleurs, il est grand, costaud, et c’est ce qu’il lui faut. Le parent abandonne, consterné. Dans le bureau, Driss tend les lettres à Philippe à mesure qu’il les décachette. Il reçoit les courriers de nombreuses femmes. Une publicité pour des massages retient toute l’attention de Driss. Le soir, il est sur son lit et se fait masser par une belle Thaïlandaise dénudée. Un dossier « putes » est ouvert pour toutes les ravissantes créatures qui pourraient être employées. La fumette est aussi à l’honneur car c’est à Driss que le milliardaire devra bientôt sa découverte de l’art et la manière de fumer des joints.

Mais voilà qu’une crise se saisit de Philippe en plein milieu de la nuit. Driss se précipite à son secours. Son protégé a besoin d’air. Les voilà sortis. Il est 4 heures du matin, et Driss pousse le fauteuil roulant de son employeur sur les trottoirs déserts de la capitale. Une chose l’intrigue. Le tétraplégique lui explique que, depuis son accident, il fait tout passer par la pensée concernant les actes sexuels, qu’il est surtout sensible au massage des oreilles. Cela n’est pas sans interpeller Driss. C’est l’occasion d’une partie fine durant laquelle les deux hommes fument leur joint respectif tout en se faisant masser par de belles jeunes femmes, le torse pour Driss, les oreilles pour son ami. Mais une question sentimentale se précise. Parmi les nombreuses relations épistolaires de Philippe, Driss en distingue une de Dunkerque qui semble vraiment s’intéresser à son employeur. Plutôt que s'en rester à de belles phrases, il convainc le tétraplégique de lui passer un coup de téléphone. Un échange de photos s’impose, dès fois que cette femme ne soit qu’un « thon » dépourvu de tout charme.

Les deux hommes partent à l’opéra. Driss fait dégager sans problème de malheureux empotés qui encombraient l’accès du vestiaire. Une fois installé, il explique à Philippe combien ce qui plaît vraiment aux femmes c’est l’argent. Désignant un spectateur voisin manifestement peu attirant, il encourage son ami à lui demander si ce n’est pas vrai. Le spectacle commence. Un chanteur apparaît déguisé en arbre. C’est est trop pour Driss qui s’esclaffe bruyamment au milieu de l’indignation générale. De retour dans l’hôtel particulier du milliardaire, la fille de ce dernier fait irruption dans la chambre de Driss et le surprend en train de peindre. Effectivement inspiré par l’exemple du tableau d’art moderne, il s’emploie à badigeonner une toile à grands coups d’éclaboussures. Quelques unes finissent sur les portraits du dix-septième siècle. Quoiqu’il en soit, il ne veut pas de cette fillette chez lui, l’invite à déguerpir : « dégage, t’as chaud ? ». Il s’en plaint même auprès de son père. C’est dit-il qu’elle manque de respect vis-à-vis de tout le personnel. La maîtresse de maison confirme ses dires. Son père la rappelle donc à l’ordre. Entre-temps, la photo de la jeune Dunkerquoise parvient à destination. Driss la lui montre. Les deux hommes respirent. Non décidément, la jeune femme n’a rien du « thon » qu’ils avaient un moment redouté. Un rendez-vous est mis en place. Philippe décide d’y aller seul. Mais il ne peut attendre et décide de quitter le café. Il appelle son ami et l’invite à venir prendre l’air avec lui. En fait, il l’emmène dans son jet privé. Là, il lui confie une enveloppe. Elle contient 11 000 euros : la somme qu’il a réussi à tirer de sa peinture en la faisant passer pour l’œuvre d’un peintre reconnu. Les deux hommes s’amusent de ce bon coup.

Mais c’est bientôt l’anniversaire de Philippe. Un concert s’organise en son honneur dans l’hôtel particulier. Tout le monde est assis. Mais voilà que Driss a localisé la belle secrétaire au milieu de l’assistance. Il fait se lever toute une demi-rangée de spectateurs pour la rejoindre, invite l’homme incidemment assis à sa gauche à se décaler d’un cran. Un ton menaçant l’aide à l’en convaincre. Du coup, tous les spectateurs suivants sont forcés d’en faire autant, si bien qu’une femme placée en bout de rang se retrouve privée de sa chaise, forcée de rester debout (rires parmi les spectateurs, quelques applaudissements). Philippe veut faire apprécier les beautés du classique à son invité. C’est l’occasion bien sûr de rêver autour d’un joint. Puis, le jeune homme présente à son employeur les rythmes plus dansants de la chanson pop. Il danse, belle chorégraphie virile qui suscite l’admiration générale. Naturellement, il invite chacun à le rejoindre, c’est l’occasion pour les invités de quitter leurs personnages compassés pour des contorsions plus audacieuses. Mais la fille du milliardaire est restée dans sa chambre. Driss se rend à son chevet et découvre qu’elle a tenté de se suicider à coup d’imodium et de doliprane. Que s’est-il donc passé ? Et bien son amoureux Bastien l’a laissé tomber en la traitant de pute… Driss se laisse convaincre d’intervenir. Il arrive à l’école du malheureux et le tire par l’oreille. À l’aide de force et menaces, il le persuade de présenter ses excuses à la jeune fille, il lui intime l’ordre non seulement de lui acheter des croissants chaque matin mais aussi de mettre une barrette dans ses cheveux. Déjà que le jeune homme ne brillait pas par la virilité, cela achève de le rendre encore plus féminin et pleutre. D’ailleurs, il obtempère « des croissants au beurre ou nature ? » trouve-t-il tout juste la force de demander tandis que Driss déjà lui intime de dégager.

Plus tard, Philippe et Driss partent à la montagne. Malgré ses réticences, Philippe convainc Driss de s’essayer aux joies risquées du parapente. Voilà qu’à leur retour, Driss retrouve son petit frère dans sa chambre. Apparemment il a encore des ennuis avec la bande. Philippe en conclut qu’ils ne vont pas tarder à lui retomber dessus. « On va s’arrêter là », propose-t-il alors à son auxiliaire de vie. Désespérés, les deux hommes se séparent. C’est l’occasion pour Driss d’apprendre que Magalie qu’il a tant convoitée était une lesbienne. D’un côté cela le rassure car, dit-il, cela ne lui était jamais arrivé qu’on lui résiste. Il quitte donc l'hôtel particulier avec son petit frère. Une voiture bouche encore la sortie. Driss rappelle le conducteur à l'ordre d'une voix ferme mais cette fois sans menace. Il retourne dans sa banlieue, rejoint ses potes de la cité, mais riche de son expérience de la culture classique, il parvient à sortir son petit frère du gang qui l’avait embrigadé. Quant à Philippe, il recrute un nouvel auxiliaire de vie. Mais n’ayant le choix qu’entre des candidats sans force, sans beauté, sans style, il se résout à l’un puis à l’autre qui ne lui donnent jamais satisfaction. Yvonne finit par rappeler Driss.

Les retrouvailles ont lieu. Et la scène d’introduction du film revient. C’est qu’en effet, à peine Driss et Philippe se sont retrouvés, leur première idée fut de foncer à toute vitesse parmi les voitures. On assiste donc de nouveau à leur slalom à travers les autres voitures que l'on voit au début du film. La poursuite par la police, comment ils ont berné les policiers,etc. Et puis, cette parole de Driss « maintenant laisse-moi faire ». Effectivement, Driss va conduire son ami à la campagne. La route les mène au bord de la mer. Ils s'installent dans un hôtel en bordure de la plage. Driss rase la barbe de son ami. Et puis ils vont s’attabler. Driss pourtant se lève : il ne va pas rester pour déjeuner. Il s’éloigne à la grande stupeur de Philippe qui reste seul devant la table. Driss en fait est parti mais pour mieux laisser la place à la Dunkerquoise. La dernière image du film est pour les deux hommes qui ont servi de modèle à cette histoire. Il est appris que cette femme allait devenir la femme de Philippe, qu’ils auraient des enfants, Driss finissant lui aussi par se marier pour fonder sa propre entreprise.

Fiche technique:
Citation :
Titre : Intouchables
Réalisation : Olivier Nakache et Éric Toledano
Scénario et dialogues : Olivier Nakache et Éric Toledano, d'après le livre Le Second Souffle de Philippe Pozzo di Borgo (2001, Bayard éditions)23
Productions : Nicolas Duval, Yann Zenou et Laurent Zeitoun
Société de production : Quad Productions
Sociétés de distribution : Gaumont (France), The Weinstein Company4 (États-Unis)
Budget : 9 500 000 euros
Genre : Comédie
Langue : Français
Durée : 112 minutes



JUSTE EXCELLENT j'ai rigolé tout le film Laughing
Revenir en haut Aller en bas
 
Intouchable
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Actualités :: Culture :: Cinema-
Sauter vers: